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  L'homme doit renaitre ? 28/03/2024 23 11 08 (UTC)
   
 
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L'homme doit renaitre

Andromède, notre voisine jumelle : 100 milliards d'étoiles!
Le 20 décembre 2006, un travail bénévole de S. M..

S. M., le 31 janvier 2007

S. M., le 31 janvier 2007

 

Renaissance de l'homme



Depuis l'Origine, la Vie suit son bonhomme de chemin.

Rien ne peut l'arrêter.



La vie est sortie des océansNi le gaz carbonique (qu'elle a changé d'office en oxygène gazeux, rendant ainsi possible l'exploration des continents), ni les astéroïdes, ni les volcans, ni les variations brutales de climat, ni même les rayons ultraviolets du Soleil, tenus en respect par la couche d'ozone dont, au passage, la vie organique a rendue la fabrication possible, et qui la protège efficacement dans son évolution terrestre, entreprise voici 443,7 millions d'années. (1)

Rien ne peut l'arrêter. Et certainement pas l'homme qui, probablement, malgré son arsenal, finira digéré par la Terre-mère, avant d'être recyclé en autre chose.

Rien ne peut stopper la Vie, mis à part le Soleil qui, dans 7,5 milliards d'années, se transformera en géante rouge de la taille de l'orbite terrestre, puis en naine blanche hyper dense, du diamètre de la Terre, et enfin en naine noire, froide, n'émettant plus aucune lumière.

La plupart des étoiles de notre galaxie (environ 97 %) finissent leur vie de la même manière, laissant autour d'elles des
nébuleuses planétaires.

Mais la Vie, avec la conscience qu'elle rend possible, est, à coup sûr, très répandue dans notre Univers. Et, lorsqu'elle s'éteint ici ou là, elle continue ailleurs son évolution au long cours. La plupart du temps autour d'étoiles de seconde génération (c'est à dire provenant de l'explosion de supernovae) et appartenant à la séquence principale, qui sont les plus nombreuses, les plus stables et les plus durables.

Et qui sont entourées d'un cortège de planètes, riches en éléments chimiques lourds de toutes sortes, indispensables à la biochimie du carbone.
De l'explosion d'une supernovae nait un nouveau système stellaire, propice à la vie biologique.
Bref, des milliards de milliards de possibilités d'écosystèmes vivants. Dans notre seul univers!

Lequel, parmi une probablement infinité d'autres, peut n'être, bien sûr, que le fruit du hasard; et nous aurions alors ici tiré le gros lot.

Provenant d'une fluctuation du vide, l'Univers pourrait tout aussi bien être un rêve, une illusion commune, comme le pensent les hindous, ou la création spirituelle d'un Extrêmement Grand Manitou, un engendrement, temporel et fini, de l'Intemporel infini.

La géante rouge va se contracter en naine blanche, laissant autour d'elle une nébuleuse composée de la plupart des restes de l'ancien Soleil.Le saurons-nous un jour? Et puis qu'est-ce que ça changerait? (Voir : Gardiens de la Terre)

Toutes les portes restent ouvertes. Et les mutations les plus intelligentes s'opèrent à chaque instant.

Même dans la conscience actuelle des zommes qui se réveillent.

Par la force des choses...


La Vie vaut la peine qu'on se mobilise pour elle, non?


Michel pour Terre sacrée, le 26 avril 2009.




(1) Apparues voici 3,8 milliards d'années, les algues bleues, appelées aussi
cyanobactéries, -et un petit peu plus tard les stromatolithes- sont à la base de la formation de la grande majorité des molécules d'oxygène, gaz incolore, inodore et constituant maintenant 20,95% du volume de l'atmosphère terrestre, alors qu'il n'existait qu'à l'état de traces dans l'atmosphère terrestre primitive, alors inhabitable.

Algues bleues ou cyanobactériesAvec le concours des
ultraviolets eux-mêmes, il y a eu, dans la stratosphère, transformation de cet oxygène gazeux en ozone, comportant trois atomes d'oxygène et qui, depuis, protège la vie biologique terrestre des effets nocifs des ultraviolets solaires.

Bien joué la Vie!

Concernant le dioxyde de carbone, le fameux
CO2, responsable de l'actuel réchauffement climatique, il occupait jusqu'à 70% du volume de l'atmosphère originelle, qui était donc brûlante comme celle de Vénus.

Grâce à la
photosynthèse, le taux de CO2 a progressivement chuté, jusqu'à se maintenir à un pourcentage extrêmement faible de seulement 0,028% du volume total.

Pourcentage idéal pour ne pas être frigorifié ou calciné. Sans le phénomène d'
effet de serre, auquel le gaz carbonique contribue (39%) derrière la vapeur d'eau (55%), la température moyenne sur Terre chuterait d'abord à -18 °C. Puis, la glace s'étendant sur le globe, l'albédo terrestre augmenterait et la température se stabiliserait vraisemblablement à -100 °C.

O,O28% donc, l'idéal! En tout cas jusqu'à la fin du 18ème siècle!

Depuis en effet, les émissions, provenant de la combustion de combustibles fossiles, du déboisement et de l'incinération de déchets, ont provoqué une augmentation de 30% de ce gaz qui fait le chaud et le froid.

Le taux actuel de CO2 dans l'air est de 0,039%.

Ce niveau est le plus élevé depuis 800000 ans.

 
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LES NORMES EN VIGUEUR, Y COMPRIS LES NOUVELLES NORMES EUROPPEENNES POSENT PROBLEME POUR PLUSIEURS RAISONS :

- D'abord, seuls les rejets dans l'atmosphère sont pris en compte dans le calcul des rejets d'un incinérateur. Or, d'après Greenpeace [1], " La réduction des émissions de dioxine et des métaux lourds dans les fumées semble avoir abouti à un accroissement parallèle du re largage de ces substances dans les cendres résiduelles, qui contaminent notre environnement".

Conclusion : les quantités de polluants rejetées dans l'environnement sont largement sous-estimées.

- Par ailleurs, selon le même rapport, Les nouvelles directives européennes n'ont pas formulé leurs objectifs de réglementation et de contrôle en fonction des impacts sur la santé humaine, mais en fonction de la faisabilité technique.

Cela signifie que les normes s'alignent sur les évolutions techniques en matière de traitement des fumées. Elles ne s'alignent pas sur les recherches en matière de santé.

Pour preuve, la lettre du SMVO de mai 2000 présente un tableau qui compare les rejets garantis par le projet d'incinérateur géant et les normes. Dans ce tableau, on constate qu'une installation à la pointe de la technique parvient tout juste à respecter les normes, dans le meilleur des cas pour les molécules dangereuses comme les dioxines et les furannes, de nombreux métaux lourds (Sb, As, Pb, Cr, Co, Cu, Mn, Ni, V, Sn, Se, Te), les chlorures d'hydrogène, l'oxyde d'azote et d'autres polluants.

- Concernant les rejets dans l'atmosphère, l'incertitude sur les quantités de polluants relargués est liée à la méthode de mesure. En Belgique une étude a montré que la technique de mesure des dioxines sur quelques heures (18 heures dans l'étude) avait sous estimé les émissions de dioxines par un facteur trente à cinquante. Or en France les mesures ont lieu sur des périodes de 6 à huit heures.

En conclusion, il est permis de douter des garanties données par un constructeur en matière de quantité de polluants rejetés dans l'atmosphère.

- Une étude publiée par The Lancet en mai 2001 (cette revue fait autorité au niveau mondial en matière d'études épidémiologiques) montre que même des doses de polluants très faibles ( en dessous des normes ) entraînent des modifications biologiques et des conséquences négatives pour la santé.
  ( Pollution ! )
Être exposé aux polluants atmosphériques c'est entrer en contact avec eux par l'intermédiaire de l'air ambiant. L'effet sanitaire éventuel est lié, notamment à la "dose absorbée". Cette dose est éminemment difficile à mesurer (Plan Régional IDF sur la Qualité de l'Air - PRQA, 1999)
L'impact de la pollution dépend de notre état de santé, de la concentration des polluants dans l'air, de la durée d'exposition, et de l'importance des efforts physiques que nous réalisons.
Ces quatre facteurs sont très importants dans l'évaluation précise de risques sanitaires liés à la pollution chez un individu. Et, ce dernier point est particulièrement sensible dans les zones de loisirs où les activités physiques et sportives sont nombreuses et les enfants plus fragiles présents.

Les véhicules de type diesel sont fortement émetteurs d'oxydes d'azote et de particules fines. En effet, les diesels émettent 30 à 100 fois plus de particules que les véhicules à essence, ce qui constitue 90 % des particules émises par l'ensemble des véhicules !
La composition des particules qui sont présentes dans l'atmosphère reste complexe à déterminer vu qu'elles résultent de mélanges de substances et d'agrégats dont l'origine, la granulométrie et la composition chimique varient en fonction du temps et de l'environnement.
On peut ainsi y relever du carbone, des composés minéraux d'origine tellurique ou anthropique (métaux, sels, nitrates, sulfates, composés organiques : Hydrocarbures Aromatiques Polycycliques (HAP)).
L'adjonction d'additifs dans le gazole pour le rendre plus performant est également à l'origine de la toxicité des particules. Les sulfates et le carbone restent les constituants principaux des particules. De plus, celles qui sont émises par les différentes sources se modifient au cours de leur passage dans l'atmosphère. Par exemple, une particule carbonée d'origine diesel de 0,1 micromètre (µm) peut s'agglomérer avec d'autres particules et s'enrober de nitrates et de sulfates provenant de la transformation chimique des polluants gazeux.
  ( Pollution de l'air )
Dorénavant, les médias relatent quotidiennement les problèmes environnementaux. Les occasions sont malheureusement devenues multiples et la pollution atmosphérique s'impose comme un sujet qui préoccupe de plus en plus les citoyens, les journalistes, les politiques et les gouvernements.
A ce titre, les alertes sont nombreuses comme en témoigne la presse : "En Île-de-France AIRPARIF recommande aux personnes à risques (jeunes enfants, personnes asthmatiques ou allergiques, insuffisants respiratoires chroniques, personnes âgées... ) d'éviter toute activité physique intense et de respecter scrupuleusement les traitements médicaux en cours" (TF1, le 18 juillet 1999) ; "La pollution atmosphérique s'est aggravée en Île-de-France : Tous les éléments étaient conjugués pour que des pics de pollution atmosphérique soient à nouveau enregistrés (...) une météo défavorable, avec du soleil et un vent faible, une circulation routière très intense" (Le Monde, le 30 juillet 1999).

Ces deux extraits de presse écrite et de journal télévisé rendent compte des quatre composantes de la pollution atmosphérique :

* celle-ci est nuisible à la santé des personnes sensibles et vulnérables,
* les activités sportives leur sont déconseillées,
* elle se traduit par des " pics " lors de situations météorologiques anticycloniques,
* elle émane majoritairement du trafic routier.

L'état de la qualité de l'air en Île-de-France est donnée par le réseau de surveillance AIRPARIF.

Ces informations et ces préoccupations relativement récentes (elles datent d'une vingtaine d'années environ) attestent du renforcement des réseaux de mesures de la pollution atmosphérique et expliquent les agitations politiques et gouvernementales.
La journée annuelle "En ville sans ma voiture" dont les avantages ne sont pas perçus unanimement en est un exemple tout comme les efforts très récents des constructeurs automobiles qui nous proposent enfin des moteurs alternatifs (hybrides, électriques...).

Tandis que la loi sur l'air et l'utilisation rationnelle de l'énergie fut promulguée fin 1996, la même année les programmes PRIMEQUAL (qui a pour objectif de dresser un état des connaissances sur les différents aspects de la pollution atmosphérique) et PREDIT (focalisé sur la pollution des transports terrestres) se sont associés sous le terme PRIMEQUAL-PREDIT, programme national de recherche pour une meilleure qualité de l'air à l'échelle locale. Ceci, afin de maintenir la cohérence de toutes les recherches menées dans le domaine de la pollution de l'air urbain. De plus, l'année 1999 a vu apparaître les Plans Régionaux pour la Qualité de l'Air (PRQA) qui répertorient sur une échelle régionale les principaux polluants atmosphériques et l'évolution des sources d'émissions.
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